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BENJAMIN CULLEN Ϟ RAMI MALEK Ϟ

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MessageSujet: BENJAMIN CULLEN Ϟ RAMI MALEK Ϟ BENJAMIN CULLEN Ϟ RAMI MALEK Ϟ EmptyDim 18 Nov - 21:09

benjamin cullen

It’s a pity you couldn’t replace my will with your own in the process;
perhaps then you would have been satisfied with me.


Hey Guys ! Vous savez, dans la vie nous avons tous un nom et un prénom, d’ailleurs le mien c’est « Benjamin Cullen », et je suis né au « Caire, Égypte », il y a « 267 ans ». Dans la vie je suis « en couple avec Tia » , j’assume pleinement ma sexualité car je suis « hétérosexuel ». Il faut bien gagner sa vie, moi, je la gagne en étant « aucun boulot pour le moment », c’est super non ? Ha oui, j’ai oublié une petite chose, je suis un « vampires ». Trop fort hein. Je suis quelqu’un de spécial et d’unique, j’ai un petit pouvoir qui est « de maîtriser les 4 éléments à ma guise », mes amis me disent souvent que je ressemble à « Rami Malek ».

signes distinctifs ; Benjamin a le don d'influencer les éléments. Ce pouvoir le rend extrêmement puissant, étant capable d'utiliser la terre, l'eau, le feu et l'air comme bon lui semble et à bon et mauvais escient. Il a une cicatrice au niveau de l'avant-bras gauche, souvenir d'une chute lorsqu'il était enfant.

caractère ; drôle - charmant - peu bavard - attentif - sociable - impulsif - loyal - intelligent - volontaire - têtu

en savoir un peu plus


♠️ un besoin vital ? - pendant longtemps, Benjamin a été isolé du monde extérieur, restreint à ne vivre qu'avec Amun, son créateur, et sa compagne. Séparé de Tia, il a vécu une période très difficile et ressentait le besoin de l'avoir près de lui. Lorsqu'il a pu assouvir ce besoin, il lui est apparu essentiel de ne jamais se retrouver seul. La solitude est ce qui le détruit - son besoin vital est indéniablement d'être entouré, cela lui permet de ne pas perdre la tête et de se sentir épanoui dans sa condition de vampire, condition qu'il a toujours eu du mal alors à accepter.

♠️ une peur bleue ? - La solitude. Non, ce ne sont pas les Volturi qui effraient Benjamin. Ils peuvent tenter de l'apprivoiser et de l'amadouer pour les rejoindre - il sait que ce moment viendra forcément - mais il ne les craint pas plus que ça, tant qu'il est avec sa famille. Son pire cauchemar serait de tous les perdre et de n'avoir d'autre choix que de errer seul - ou avec le clan italien.

♠️ un regret particulier ? - peut-être celui d'avoir attendu trop longtemps pour s'imposer auprès d'Amun. L'avoir laissé trop longtemps avoir de l'emprise sur lui et de l'avoir tenu éloigné du monde extérieur afin de le protéger - certes - mais le forçant à rester seul malgré lui.

♠️ une fierté personnelle ? - son pouvoir. Il doit admettre apprécier ses facultés et en jouer énormément pour : amuser ses proches, amadouer sa fiancée, et effrayer les ennemis.

♠️ une vision du futur à Forks ? - tant que les Cullen y seront, il n'y imagine qu'un excellent futur. Cela dit, il sait pertinemment que les Volturi finiront par remettre les pieds dans cette magnifique forêt qu'il a apprit à connaitre depuis 7 ans. Et cela, il ne le voit pas d'un très bon oeil.

❝ Apparently, I’m a hot commodity. It appears I have to win the right to be free ❞


« Il y a toujours dans notre enfance,
un moment où la porte s'ouvre
et laisse entrer l'avenir.
»
Graham Greene

« Benjamin. Tu t’appelles, Benjamin, n’est-ce pas ? » J’acquiesce. « Moi, c’est Anton. Je suis l’oncle de ta maman. C’est avec moi à présent que tu vas vivre, » avait-il continué. Il n’y avait pas de douceur dans cette voix bourrue. Pas de douceur dans ces gestes puisqu’il ne dédaigna pas en faire un seul. Mais il y avait quelque chose de bon dans ce regard. Quelque chose que, même du haut de mes 3 ans, je perçu immédiatement. Aussi, j’avais attrapé cette main qu’il me tendait et l’avais suivi. Parce que je n’avais pas d’autre choix, mais surtout parce que je savais que c’était la seule solution.

Je refuse de dire que mon enfance fut malheureuse. Je ne l'ai jamais dit. Et jamais je ne le prétendrai. Certes, j'ai perdu ma mère lorsque j'avais à peine 3 ans. Certes, je n'avais pas de père - inconnu alors - et aucune famille directe pour me prendre en charge. Du moins, à première vue. Mais cette période a duré tellement peu de temps, que je n'en ai pas le moindre souvenir. Je me souviens du parfum. Je me souviens du sourire. Je me souviens des rires. Des cris enchanteurs. Je me souviens de la bonne humeur. De tapes bourrues sur l'épaule. Je me souviens d'une famille. Parce que c'est ce que nous étions tous au Caire. Une Famille. Une grande tante qui sentait bon le jasmin. Un grand oncle qui était fier de ses enfants. Des cousins et des cousines avec qui se chamailler et rigoler. Oui. c'était une belle enfance.

Puis, la rencontre. Celle qui - malgré toutes celles qui suivront alors - déterminerait ma vie. Tia. Si nous étions liés par le sang - d'une manière trop lointaine pour en prendre réellement compte - notre rencontre fut un coup de foudre. Littéralement. Psychique tout d'abord, nous avions respectivement 8 et 5 ans. Je l'ai immédiatement considérée comme ma petite protégée. Elle me voyait comme un grand frère, un héros. Deux âmes qui se trouvent et qui s'accrochent l'une à l'autre. Parce que l'on se comprenait. Orphelins. Recueillis. Chanceux. Inséparables, nous l'étions déjà alors.

« L'adolescence est le seul temps
où l'on ait appris quelque chose.
»
Marcel Proust

« Comment fais-tu cela ? » me demanda-t-elle émerveillée. Je l’ignorais. Je l’ignorais totalement, c’était presque totalement insensé. C’était inouï et je réalisais fortement bien que ce que j’étais en train de faire sortait de l’ordinaire. Cela était effrayait. Excitant. Préoccupant. Fascinant. Et pourtant, je me devais de reconnaitre qu’à cet instant-même, je jouais avec le feu. Littéralement. « Je crois que j’ai un don, Tia, » lui dis-je alors. La seule personne à qui j’arrivais à réellement me confier. La seule à me comprendre. Elle garderait mon secret, je le savais. Elle saurait me protéger contre ceux qui oseraient vouloir s’approprier mon don. J’étais suffisamment autonome et mature pour m’imposer et pour ne pas laisser les autres m’influencer. Mais je détestais l’idée de devoir le faire envers qui que ce soit – me rebeller et m’apporter des ennuis avec quiconque n’était pas du tout dans mes plans.

« Tu es beau, » susurra-t-elle entre mes bras. Enlacés, nous nous aimions pour la première fois. Une étreinte passionnée. Douce. Unique. Magique. Sensuelle. Elle était nue, sublime et mienne. Ses doigts parcouraient mon visage comme si elle cherchait à le capturer, à le mémoriser pour toujours. Je lui lançais un sourire, du haut de nos 20 et 17 ans, comme pour lui prouver que nous deux, c’était éternel. Adolescents, découvrant les premières joies de l’amour – bien que nous nous aimions depuis bien plus longtemps, on le savait – nous n’aspirions à rien d’autre qu’une vie paisible. Ensemble. Quoiqu’il arrive, ensemble.

Mais mon don était « répandu ». Je n’avais pu le garder secret bien longtemps. Beaucoup venaient pour « assister » au spectacle. Des étrangers. Venus de loin. Et Amun. Amun, je ne le connaissais pas alors. Amun, je ne pensais pas le connaitre, jamais. J’ignorais que ce genre de créatures existait. J’ignorais bien évidemment que je m’apprêtais à découvrir un tout autre monde. Un tout autre destin. Que cet avenir que nous souhaitions bâtir avec Tia, ne serait qu’une illusion. Un rêve inachevé. Parce que quatre ans après notre première étreinte, j’allais disparaitre – pour ne plus revenir. Parce qu’Amun, ce vampire qui deviendrait un père pour moi et bien trop protecteur pour m’empêcher de m’échapper – avait déjà décidé de me transformer. De m’offrir l’éternité. Je n’avais que 24 ans. Trop jeune pour mourir. Trop jeune pour une destinée non choisie. Mais avais-je le choix ?

« It’s a pity you couldn’t replace my will
with your own in the process;
perhaps then you would have been
satisfied with me.
»
Benjamin

« Je t’ai dit non ». Oui. Tu dis toujours non. Et je pose sans cesse la question. Parce que nous, créatures de la nuit, nous avons l’éternité sans avoir la possibilité de dormir et de se reposer pour penser. Tergiverser. Pour perdre la tête. Pour désirer des choses que l’on ne peut avoir. Qui aurait pu croire que, de vivre éternellement et être éternellement jeune ne signifiaient pas nécessairement que nous étions heureux ? Il me manquait beaucoup. Amun et Kebi n’étaient pas tout. Ils me protégeaient. Ils me soutenaient dans ma nouvelle condition de vampire. Ils m’écoutaient, sans réellement m’écouter cependant. Ils étaient là. M’aidant à perfectionner – pour ne pas dire maîtriser – mon don. Si, en tant qu’humain, j’avais été capable de manipuler le feu, en tant que vampire je détenais un pouvoir bien plus grand. Bien plus développé. Tellement qu’Amun m’empêchait de sortir de notre temple. M’empêchait de vouloir des choses. Je ne demandais pas la lune … juste de m’assurer qu’elle allait bien. Qu’elle était heureuse. Qu’elle ne souffrait pas de mon absence. Qu’elle ne culpabilisait pas.

« Je ne suis pas un jouet, Amun. Si tu m’as offert cette vie pour m’enfermer éternellement ici, tu as commis une monumentale erreur », avais-je osé rétorquer. Je commençais, au bout de cinq années cloîtré dans ce temple sans quiconque – excepté Amun et Kebi – à qui parler, je finirai par perdre la raison, j’en étais certain. « Tu as un don, Benjamin. Un don extrêmement puissant, encore plus si tu te donnais la peine de te concentrer. Veux-tu voir les Volturi s’en emparer ? Jouer avec toi comme avec une marionnette ? Parce que c’est ce qui se passera si tu oses sortir… » Toujours la même menace. Toujours a même réplique. Amun s’était donné du mal pour me décrire ces Volturi. Il y avait puisé tout son espoir pour m’effrayer. Pour me forcer à ne pas désobéir. Mais c’était sous-estimer l’amour que j’avais pour Tia. Et sous-estimer mon indépendance.

Parce que j'avais fini par désobéir. J'avais fini par trouver le moyen de quitter ce temps dans lequel je venais de passer les cinq dernières années enfermé. J'avais fini par redécouvrir l'extérieur. C'était comme renaître. A peu de choses près, tout était similaire. Mais mon odorat décuplé et ma condition de vampire - Amun et Kebi me rapportant toujours mon "repas" au temple, j'avais eu l'habitude de boire le sang humain - pour ma plus grande honte. Je n'avais jamais été du genre à blesser qui que ce soit - alors tuer pour me nourrir ? Puis j'avais fini par la retrouver, après de longues heures de recherches - qui auraient été des semaines, voire des mois si j'avais été humain. Elle était là. Devant moi, à quelques mètres. Plus belle que jamais. Elle semblait perdue dans ses pensées - et pendant un instant je me laissais imaginer que ce fut à moi qu'elles étaient dirigées. Elle était mariée. Depuis 2 ans. A un homme plus âgé. Plus mature. Plus expérimenté. Plus "sage" et fortuné. Je me devais de la laisser vivre sa vie. De la laisser être heureuse. Et je serais reparti sans m'être montré si je n'avais pas vu son regard.

Perdu. Humilié. Triste. A l'affut d'un quelconque espoir de sortie. Cela ne m'avait pas plu. Je tenais à savoir que je la laisserai vivre une vie épanouissante - et non ennuyante et torturée. Je ne voulais pas qu'elle me voie. Mais c'était trop tard. J'eus d'abord peur. Très peur. Lorsque ses yeux se posèrent sur moi. Peur qu'elle hurle, de surprise mais aussi de terreur en voyant mes yeux rouges sang. Peur qu'elle parte en courant. Peur qu'elle me regarde... comme un monstre. Mais cette fois, c'était moi qui l'a sous-estimait. Parce que Tia me lança ce sourire qui m'avait tant manqué. Certainement le premier en cinq ans. Elle s'était levée et s'était précipitée dans mes bras. Sans même me demander où j'avais pu passer. Ni même m'insulter pour l'avoir abandonnée. Aucun reproche. La serrer dans mes bras fut tout aussi naturel qu'avant. Et à cet instant, à ce même instant, je sus qu'on ne séparerait plus jamais. Parce que ces cinq années venaient d'être effacées en un claquement de doigts.

« Tu m'as manqué, » avait-elle simplement dit. Avait suivi une longue discussion. Un long monologue de ma part, lui relatant ces dernières années - non sans réticence. Je ne tenais pas à ce qu'elle sache que j'avais pu tuer. Être un vampire n'avait rien - alors - de très affriolant et de très flatteur. Pourtant, après des heures à lui raconter cette vie misérable que je ne souhaitais à personne, elle m'avait souri de nouveau. Et m'avait demandé de la transformer. Le choc fut ma première réaction. Une dispute. Des arguments pour lui faire comprendre qu'elle était folle de me demander ça. Des arguments pour me faire comprendre qu'elle était déjà morte si je ne le faisais pas. Les bleus sur sa nuque me le prouvaient bien. Je rageais. J'aurais pu le tuer. J'aurais pu... « C'est avec toi que je veux être. Pour toujours, » avait-elle fini par me convaincre, plusieurs jours plus tard. L'homme est faible. Il ne l'est pas moins en tant que vampire.

Cela fait maintenant 218 ans que nous sommes réunis. Que nous avons subi la colère d'Amun - pour lui avoir désobéi et pris le risque de me faire repérer par les Volturi - tout cela pour une femme ? avait-il hurlé. Il avait fini par accepter Tia - au bout d'une dizaine d'années. Sûrement qu'il avait pu réaliser qu'une éternité seul, sans compagne, était impossible. Que je méritais la chance d'être deux moi aussi. Il se considérait comme mon père, et quelque fois, je le considérais comme tel également. Il n'était pas foncièrement mauvais. Juste ambitieux. Protecteur. Il ne le disais pas, mais je le sentais bien. Il me voyait comme un fils, mais pas moins comme une arme. Car mon don se développait de plus en plus - sans que je puisse arriver à le contrôler totalement. Et je savais qu'il me mènerait loin.

Ce n'est qu'il y a 7 ans que notre vie a basculé. Jusque-là, nous n'avions jamais quitté l'Egypte. Nous n'avions jamais rencontré qui que ce soit - ni même des amis d'Amun. Je doutais même qu'il puisse en avoir eu. Pourtant, Carlisle et Esmée Cullen avaient paru connaitre mon "père" depuis bien longtemps. Je les avais écouté d'une oreille, au loin. Amun tenait à me garder secret. Et souhaitait les voir partir loin avant qu'ils ne puissent s'apercevoir de ma présence. Que se serait-il passé alors si j'avais suivi les ordres de ce dernier ? Je préfère ne pas y penser. Il s'agissait d'une histoire peu commune. Une échappatoire aussi. L'occasion de bouleverser le cours des choses. L'occasion de découvrir le monde.

« J'aimerais en savoir plus, » avais-je alors dit, sortant de l'ombre et manipulant l'eau de la fontaine. Je ne l'avais pas fait pour "frimer". Je ne l'avais pas fait pour montrer que j'avais un don, moi. Mais depuis plus de 200 ans à m'entraîner chaque jour et chaque nuit, cela était devenu un automatisme. « Je n'ai jamais l'occasion de rencontrer les amis d'Amun. Il préfère que je me fasse discret, » avais-je souri. Carlisle avait rétorqué ironiquement qu'il ne pouvait qu'imaginer pourquoi. Déjà un grand coup de coeur pour le paternel Cullen - humble, calme, rassurant et incapable de juger qui que ce soit. Admirable.

Mais lorsque nous étions arrivés à Forks - premier voyage de toute une vie - ce fut d'autant plus un coup de coeur que de voir ce clan uni, soudé et "innocent". J'en appris plus en quelques jours auprès d'eux qu'en plus de 200 ans avec Amun. Ce qui était enrichissant. Et cela faisait énormément de bien. La petite Renesmée n'aurait pas même eu besoin de me toucher pour me convaincre de les aider. Mais j'étais tombé amoureux de cette petite fille aux origines uniques. Amoureux de cette famille hors du commun. Les aider m'avait semblé être juste et surtout être ma destinée. Affronter les Volturi aurait été inévitable un jour ou l'autre pour ma part. Amun m'avait tellement parlé d'eux que j'avais l'impression de les connaitre. Aussi lorsqu'ils arrivèrent dans cette forêt d'Olympic, je n'eus aucun mal à cerner qui était qui. La scène avait été longue. Interminable. A se demander quand les jeux seraient faits. Quand nous allions devoir passer à l'attaque. Car ils en avaient bien eu l'intention. Jusqu'à ce qu'Alice arrive. Et change le cours des choses.

Cet évènement fut marqué à jamais dans les esprits, et ce même si rien ne s'était réellement passé. La mort d'Irina - justifiée selon Caïus et les siens - avait laissé des traces qui ne s'en iraient pas comme ça. Les Denali ne rêvaient que de vengeance, et je tentais tant bien que mal d'aider Tanya à se raisonner - devenus amis, nous discutions très souvent et quelque part, j'ignore comment, j'étais le seul à y arriver. Amun et Kebi avaient disparu dans la nature - jusqu'à quand, je l'ignorais, mais cela ne m'avait pas attristé plus que ça. Les Cullen nous avaient accueillis comme les leurs dans leur demeure. Et depuis 7 ans que nous vivions avec eux et que nous avions été intégrés dans la famille, nous n'avions jamais été aussi... épanouis ? Oui, ce serait le mot. Le régime alimentaire avait, certes, été le plus dur. S'adapter au sang animal lorsque nous avions eu tant l'habitude du sang humain, ce n'était pas quelque chose de simple et de naturel. Mais de nature généreuse et ne supportant pas l'idée de tuer d'autres personnes, Tia et moi avions soufferts ensemble - et ce sans abandonner.

Les choses bougent. Les choses changent. Les choses évoluent. Nous avons bien conscience de la présence - même invisible - des Volturi au-dessus de nos têtes. Ils reviendront à la moindre occasion. Ils reviendront pour Alice. Pour Bella. Pour Edward. Et pour moi. Serions-nous prêts ? Au fond de moi, je sais que oui... car depuis que j'étais avec les Cullen, maîtriser mon don n'était plus un souci.


derrière l'écran


Hello les amis Smile moi c'est shadows. ou Noémie - sûrement mieux que le pseudo :p J'ai 25 ans, je suis secrétaire médicale, ce qui explique mon aversion pour le mauvais français et les fautes d'orthographe et le pourquoi de mes exigences - je m'en excuse par avance Smile

Je reprends ce forum avec Gagou tout simplement parce que j'en ai la motivation, l'envie et que j'avais envie de changer d'univers - aussi réputé soit-il.

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Benjamin Cullen

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