Hey Guys ! Vous savez, dans la vie nous avons tous un nom et un prénom, d’ailleurs le mien c’est « Jane Volturi », d’ailleurs, je suis né en « Angleterre » il y a « plus de 1000 ans ». Dans la vie je suis « plus au moins célibataire « , j’assume pleinement ma sexualité car je suis « hétérosexuelle ». Il faut bien gagner sa vie, moi, je la gagne en étant « un membre de la garde rapprochée des trois rois », c’est super non ? Ha oui, j’ai oublié une petite chose, je suis un « Volturi ». Trop fort hein. Je suis quelqu’un de spécial et d’unique, j’ai un petit pouvoir qui est « d'infliger une torture mentale », mes amis me disent souvent que je ressemble à « Dakota Fanning ».

signes distinctifs ; Jane n’est pas difficile à reconnaître. De petite taille, on la croirait fragile et sans défense. Son visage angélique et sa peau blanchâtre la font ressembler à une poupée de porcelaine. Et pourtant, sa simple présence suffit à faire trembler une assemblée. La jeune fille est notamment dotée d’un don redoutable. D’un simple regard, elle peut infliger une douleur insupportable. Une douleur telle qu’on ne peut plus réagir, au point de s’écrouler au sol, incapable de faire quoi que ce soit pour arrêter le supplice. Une torture mentale qui paralyse totalement celle ou celui qui la subit.

caractère ; Téméraire, violente, sadique, rancunière, cruelle, têtue, fière, manipulatrice, indépendante, machiavélique, jalouse, possessive, égoïste, agressive, hautaine, lunatique, capricieuse, loyale et colérique

un besoin vital ? - Jane ne peut pas vivre sans Alec. C’est celui qui compte le plus à ses yeux et elle ne peut se passer de lui. Tout comme il lui est impossible de se passer d’Aro, à qui elle voue une réelle admiration. Elle a toujours fait partie des Volturi et ne pourrait s’imaginer vivre sans eux. Elle aime faire partie de la garde royale, être crainte aux quatre coins du monde. Jane a besoin qu’on la craigne, qu’on l’évite et qu’on la respecte. Tout le monde connaît les Volturi, tout le monde respecte leurs règles. Faire partie de la famille royale lui procure tout ce qu’elle n’a jamais eu en tant qu’humaine. De la puissance et du respect.

une peur bleue ? - Il y a trois choses qui pourraient la terroriser. Tout d’abord, perdre son jumeau, sa moitié. Elle n’imaginerait pas vivre sans lui, ça lui serait impossible et douloureux. La seconde serait de perdre Aro. Elle est prête à tout pour qu’il soit heureux, cet homme qui l’a sauvé d’une mort certaine. Il faudra lui passer sur le corps pour lui faire du mal, tout comme elle serait prête à détruire quiconque lui volant son statut privilégié de préférée. La dernière chose qui pourrait lui faire peur, c’est bien de voir son clan ce faire anéantir. Cela voudrait dire qu’elle perdrait tout, absolument tout. Sa réputation, son statut dans le monde entier et tout particulièrement le pouvoir qui accompagne le nom des Volturi.

un regret particulier ? - Son seul regret serait actuellement de ne jamais avoir appris à se battre. Son don étant inefficace contre Isabella Cullen et Aro lui ayant annoncé ce qu’avait été la vision d’Alice, sept ans auparavant, la jeune fille fût réellement outrée d’apprendre qu’elle aurait été tuée par un simple modificateur. Pire même, qu’elle aurait tenté de fuir en se retrouvant face à Alice Cullen. Ainsi, elle s’est décidée de remédier à ce problème, coute que coute.

une fierté personnelle ? - La chose dont Jane est le plus fière, c’est bien naturellement son don. Grâce à ce dernier, personne n’ose la défier ou la contredire. Tout le monde la respecte et la craint, ce qui est le plus important à ses yeux. Grâce à son don, elle fait partie des vampires les plus dangereux au monde. Un statut dont elle est particulièrement fière et qu’elle partage d’ailleurs avec son frère.

une vision du futur à Forks ? - Il n’y a rien de plus simple que ce que souhaite Jane pour les habitants de Forks. Tout d’abord, il faut anéantir la famille Cullen et leurs vulgaires toutous. Ensuite, tout autre être se trouvant à proximité devrait lui aussi être anéanti. Si cela ne dépendait que d’elle, les végétariens et les modificateurs ne seraient déjà plus de ce monde. Ils créent bien trop de problèmes.

Certains vous diront qu'on peut tout oublier. Et qu'avec le temps, les souvenirs s'estompent.

Jane a aujourd'hui 1012 ans. Tant d'années passées, tant de temps écoulé. Pourtant, les souvenirs sont toujours là. Elle n'a jamais voulu oublier, même si elle avait espéré que le temps lui arrache ses souvenirs les plus sombres. Son humanité ne fût que cauchemar. Pourtant, elle souhaite tant se rappeler chaque jour, chaque seconde ou détail de cette existence lointaine et pitoyable. Car c'est de là qu'est née sa haine pour l'humanité. Ce sont 16 années d'enfer qui ont fait d'elle ce qu'elle est. Hors, Jane aime ce qu'elle est devenue. Ce qu'elle ressent comme haine ou colère, mépris ou dégout.

Née en Angleterre en compagnie de son frère jumeau, la jeune fille était destinée à un futur bien sombre. Ses parents n'ont pas voulu d'elle, ni de son cher frère. Avaient-ils lâchement abandonné leur progéniture aux portes d'un orphelinat ? Ou avaient-ils tenté d'un jour garder leurs enfants, avant de se rendre compte quelques années plus tard que ça leur était impossible ? Les avaient-ils abandonnés par manque d'argent ? Leur mère était-elle morte lors de l'accouchement, laissant derrière elle un mari et un père qui ne savait que faire des nourrissons ? Tant de questions sans réponses. Mais dès qu'elle comprit ce qu'étaient des parents, Jane su que les siens n'étaient que des vaux-rien. Espérant de tout coeur qu'ils étaient morts, ou qu'ils vivaient dans les pires circonstances imaginables.

L'orphelinat était la maison de dieu. Ou du moins, c'est bien ce que tout le monde croyait, en voyant ces charmantes religieuses s'occuper de tous ses orphelins. Mais loin des regards indiscrets, les soeurs étaient les bourreaux et les enfants n'étaient qu'esclaves ou vermines. La maison du diable. Pour survivre, il n'y avait que la règle du plus fort qui comptait. Et depuis leur plus jeune âge, les jumeaux avaient prouvé aux autres enfants que c'était eux, les plus forts. Et leur force n'était autre que leur gémellité. Les enfants affamés ne se faisaient pas de cadeaux. Frères et soeurs en arrivaient à se marcher dessus pour la simple satisfaction d'obtenir un bout de pain. Mais pas eux. Alec et Jane ne se sont jamais tournés le dos. L'union fait la force et depuis leur plus jeune âge, ils l'avaient compris. Non seulement étaient-ils plus forts ensemble, mais ils l'étaient aussi bien sûr le plan physique que mental. Jane se rappelle avoir eu envie de tout abandonner, de se laisser mourir de faim. Tant de fois. Mais elle ne l'aurait jamais fait, car le seul être qui comptait pour elle resterait seul. Inimaginable. Alors elle lutta, tous les jours. Car elle était persuadée qu'un jour, son frère et elle partiraient de l'orphelinat pour découvrir le monde.

Ils étaient invincibles. Mais ce qui faisait leur force était également leur plus grande faiblesse. Les sœurs, impitoyables, s’en prenaient soit aux plus faibles, soit aux plus forts. Les jumeaux furent longuement leurs cibles préférées. Leurs infligeant les punitions les plus injustes ou cruelles. Le plus douloureux fût de savoir que son jumeau les subissait, lui aussi. La peur n’était guère une option pour la petite fille de jadis. Chaque coup, chaque mot et chaque parole réveillait en elle une colère immense. Rancunière, elle s’arrangeait pour se venger. Les autres enfants la savaient sadique, alors que les sœurs lui répétaient qu’elle devait mieux se tenir. Mais à quoi bon les punitions qui leur étaient infligées, si ce n’était que pour l’exemple ou pour assouvir une loi invisible ? Voir son frère souffrir lui brisait le cœur, bien plus qu’aucune punition aurait pu la faire souffrir à elle.

Chaque jour, combattre pour ne pas mourir. Accepter les traitements indignes de ces religieuses. La cruauté du monde était affaire courante pour les deux enfants. Et puis le jour J arriva. Enfin, ils avaient le droit de sortir ! Visiter la ville, se promener dans les rues. Jane avait été si impatiente de découvrir un monde meilleur. Un monde qu’Alec et elle pourraient un jour parcourir en découvrant toute la splendeur de la liberté. Quelle ne fût pas sa déception. La ville était aussi terne que l’orphelinat, si pas plus. Les enfants affamés avaient été remplacés par des vieillards puants. Des dizaines, voire des centaines de personnes qui n’attendaient qu’une chose, que quelqu’un leur donne un peu d’argent, un peu de nourriture. De temps à autre, un cadavre d’un homme, sans doute mort de faim ou de froid. Et les hommes richement vêtus qui passaient à côté de tout ce petit monde, sans même leur lancer un regard. Bousculant sur leur passage tout ce qui leur semblait indigne de vie. Les maisons n’étaient que bâtiments de pierres. Les gens étaient de simples brutes, de simples rats vivant dans ce qu’ils appelaient une ville. Ce n’était pas une ville, c’était un nouveau cauchemar.

À l’orphelinat, il y avait trop d’enfants. Et dans les rues, trop de pauvres sans importance. L’humanité n’avait rien de bien beau, si ce ne fût que la tendre présence de son jumeau. Et très vite, Jane perdu tout espoir quant à une vie meilleure. Pourtant, cela ne lui faisait rien. Car tant qu’elle serait avec Alec, rien ne pourrait l’empêcher de grandir. Rien ne pouvait l’arrêter. Alors que sa colère prenait chaque jour plus d’ampleur dans son cœur, c’est les paroles d’une sœur qui vinrent choquer la jeune demoiselle. Son frère et elle étaient trop proches, ce n’était pas bien. Mais en quoi être proche de son jumeau était-il mal ? Certes, ils ne parlaient que rarement aux autres et restaient la quasi-totalité de leur temps ensemble, mais ils ne faisaient quand même rien de mal ! L’idée d’être séparé d’Alec la mit hors d’elle. La colère était devenue haine. Il était le seul être au monde qui avait de l’importance à ses yeux. Le seul qu’elle aimait plus que tout. Personne ne pourrait les séparer, personne.

Une nouvelle fois, elle eut tort. Un beau jour, on vint chercher les jumeaux, les accusant à tort de sorcellerie. Les sœurs ne firent rien pour empêcher ce départ, alors que les autres enfants n’y voyaient aucun inconvénient, loin de là. Brûler sur un bûcher, après avoir survécu tant d’années aux mauvais traitements n’était pas le souhait des deux jeunes gens. Suppliant les hommes qui les emmenaient à une mort certaine, rien n’y changea. Pire même, ils furent arrachés à leur moitié pour finir tous deux dans des cachots différents. L’inquiétude gagna. Qu’allaient-ils faire ? Les torturer jusqu’à ce qu’ils obtiennent des réponses ? Allaient-ils s’en prendre à l’un d’entre eux ? La simple idée de ne plus revoir Alec l’effraya plus que tout. Plus encore que l’idée de brûler vif. Mais son jumeau n’était pas loin. Il n’y avait que très peu d’espace entre les deux cachots, assez pour qu’Alec réconforte Jane en lui tenant la main. Peut-être avaient-ils passé des jours dans ces pièces sombres. Peut-être seulement quelques heures. Tout ce dont Jane était sûre, c’est qu’elle ne lâcherait pour rien au monde la main d’Alec. Elle vu et entendu les cris horrifiés de femmes et d’hommes, accusés de crimes plus atroces les uns que les autres. Des femmes furent emmenées, accusées de sorcellerie. Leurs cris, alors que les flammes vinrent brûler leur chair étaient audibles, jusqu’aux cachots.

C’est tremblant de peur qu’elle vu des hommes entrer dans son cachots. Les larmes aux yeux, on la fit lâcher la main de son jumeau, la trainant hors de cet endroit abominable. Elle n’avait plus la force ou le courage de se débattre contre eux. Mais en voyant Alec, elle retrouva toute énergie. S’empressant de le rejoindre, de retrouver les bras de son jumeau. Mais leur étreinte ne dura que quelques secondes. La séparant une nouvelle fois d’Alec, Jane se mit à hurler de rage. Insultant tout le monde, suppliant aux hommes la tenant de la laisser rejoindre son jumeau. Mais il n’en fit rien. Attaché au bûcher, éloigné de sa moitié, son regard se posa sur les gens l’entourant. Ils la regardaient tous avec haine et mépris. Mais le pire resta les sourires, le soulagement. Comment pouvaient-ils sourire alors qu’ils brûlaient à tort deux jeunes gens ? Les larmes coulaient d’elle-même, alors que ses yeux bleus se posèrent une dernière fois sur Alec. Cette étreinte avait été la dernière. Jamais elle n’aurait cru une fin aussi atroce. Elle ignorait sa peine, sa douleur. Elle ne voyait qu’Alec, qui la regardait lui aussi. Elle pleurait, car devant ses yeux, son frère brûlait vif. Devant ses yeux, elle avait peur de voir mourir le seul qui comptait. La suite n’en reste que très vague. Elle se rappelle avoir mordu sa langue, pour ne pas hurler lorsque les flammes vinrent lécher ses jambes. Elle se rappelle avoir lutté contre le sommeil. Car elle avait trop peur de fermer les yeux. Elle avait trop peur de ne plus jamais le revoir. Et pourtant, elle s’évanouit. Sa colère était immense, mais sa peine l’était encore plus. Vaguement, il lui semble avoir entendu les cris des villageois.

Trois jours de souffrances. Non pas pour le feu qui semblait se propager en elle. Non pas pour les flammes qui lui brûlaient la chair. Elle avait bien trop mal au cœur pour s’inquiéter de cela. Étais-ce donc ça, la mort ? Souffrir, encore et encore ? Ne plus jamais revoir le visage d’Alec ? Elle aurait encore préférée ne plus rien savoir, ne plus rien comprendre. Mais ce qui se passait à cet instant n’était pas l’œuvre des humains. C’est quand elle le comprit, en ouvrant les yeux, que le monde devint plus beau. Son premier réflexe fût de ne pas ouvrir les yeux. De rester immobile. Son cœur ne battait plus, elle n’avait plus besoin de respirer. Et quand elle sentit une présence près d’elle, elle se releva tellement vite qu’elle en fût étonnée. Alec. Ce n’était pas lui. Le doute s’empara vite d’elle, alors que son regard affolé parcouru la pièce dans laquelle elle se trouvait. Il n’était pas là. S’il n’était pas là, elle n’avait aucune raison d’être ici. Mais l’homme à ses côtés la rassura. Son frère se portait à merveille. Et c’est ainsi qu’en découvrant plus tard l’identité de son sauveur elle jura loyauté aux Volturi.

Son bonheur quant à sa nouvelle existence ést infatigable. Et ce bonheur persiste toujours. Alec et Jane forment un duo invincible. Plus redoutés que jamais auparavant, les jumeaux font partie des vampires les plus dangereux au monde. Au fil du temps, la colère que Jane avait accumulée pendant 16 années de vie humaine est devenue une force redoutable et redouté. Cette colère et cette haine en ont fait un vampire d'exception. Sanguinaire et cruelle, elle détruit tout sur son passage. L'amitié est une vertu qu'elle ne connait pas. D'ailleurs, elle ne s'intéresse qu'aux autres qu'à la seule condition qu'ils peuvent lui rapporter quelque chose. Ayant les apparences d'une poupée de porcelaine, Jane est le mal incarné. Sadique, rancunière, colérique et impitoyable, elle ne fait pas de cadeaux. Les Volturi sont ce qu'il y a de plus important à ses yeux, après Alec et Aro, à qui elle voue une loyauté sans faille. Son jumeau est à ce jour le seul avec qui elle se montre réellement affectueuse. Mais il est également le seul capable de la calmer en temps voulu. Elle voue une admiration totale à Aro, qu'elle adore plus que tout, car c'est lui qui les a sauvés. D'ailleurs, elle est sa préférée. Et ceci est un privilège qu'elle défend corps et âme, car de nature possessive, Jane déteste partager ceux à qui elle tient. Et le fait d'être crainte aux quatre coins du monde l'amuse plus que tout.